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10/09/24

Brigitte Stora pour son livre « L’antisémitisme, un meurtre intime » et Delphine Minoui journaliste pour son roman « Badijens »



Emission: Essentiel - Laurence Goldmann

ESSENTIEL, le rendez-vous culture

Laurence Goldmann reçoit Brigitte Stora psychanalyste et essayiste pour "L’antisémitisme, un meurtre intime" aux éditions du bord de l’eau et Delphine Minoui journaliste Grand reporter au Figaro pour son roman "Badijens" aux éditions du Seuil.


À propos du livre : « L’antisémitisme, un meurtre intime »

paru aux éditions Bord de l’Eau


Le monde retentit de nouveau des cris de « mort aux juifs ». L’antisémitisme ne désarme pas, il n’a rien de nouveau, il est là. Franz Fanon avait prévenu : « Quand vous entendez dire du mal des juifs, dressez l’oreille, on parle de vous. » Pour les antisémites, les Juifs portent le grand nom coupable, cette accusation est à l’origine de toutes les démissions du courage. Car seul le nom de l’Autre nous permet de penser la responsabilité d’un monde commun.


À propos du livre : « Badijens »

paru aux éditions Seuil


« Bad-jens : mot à mot, mauvais genre. En persan de tous les jours: espiègle ou effrontée. »

Chiraz, automne 2022. Au cœur de la révolte « Femme, Vie, Liberté », une Iranienne de 16 ans escalade une benne à ordures, prête à brûler son foulard en public.

Face aux encouragements de la foule, et tandis que la peur se dissipe peu à peu, le paysage intime de l’adolescente rebelle défile en flash-back : sa naissance indésirée, son père castrateur, son smartphone rempli de tubes frondeurs, ses copines, ses premières amours, son corps assoiffé de liberté, et ce code vestimentaire, fait d’un bout de tissu sur la tête, dont elle rêve de s’affranchir.

Et si dans son surnom, Badjens, choisi dès sa naissance par sa mère, se trouvait le secret de son émancipation ? De cette transformation radicale, racontée sous forme de monologue intérieur, Delphine Minoui livre un bouleversant roman d’apprentissage où les mots claquent pour tisser un nouveau langage, à la fois tendre et irrévérencieux, à l’image de cette nouvelle génération en pleine ébullition.


D’origine iranienne, lauréate du prix Albert-Londres et grand reporter au FigaroDelphine Minoui couvre depuis vingt-cinq ans l’actualité du Proche et Moyen-Orient. Publiés au Seuil, ses récits empreints de poésie, Je vous écris de Téhéran et Les Passeurs de livres de Daraya (Grand Prix des lectrices ELLE), ont connu un immense succès et ont été traduits dans une dizaine de langues.


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