Emission: Essentiel - Sandrine Sebbane
ESSENTIEL, le rendez-vous culture présenté par Sandrine Sebbane.
Elle reçoit Mélissa Da Costa pour son livre « Les femmes du bout du monde » aux éditions Albin Michel, Marie Lebey pour son livre « La valeur des rêves » chez Léo Scheer et Marie Virginie Dru pour son livre « Regarde le vent » chez Albin Michel.
Si tu te demandes ce que nous faisons ainsi, loin des hommes, je vais te dire : nous veillons sur notre petit univers, nous veillons les unes sur les autres. C'est ce que font les femmes du bout du monde.
À la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région isolée des Catlins, au coeur d'une nature sauvage, vivent Autumn et sa fille Milly.
Sur ce dernier bastion de terre avant l'océan Austral et le pôle Sud, elles gèrent le camping Mutunga o te ao, le bout du monde en maori.
Autumn et Milly forment un duo inséparable, jusqu'au jour où débarque Flore, une jeune parisienne en quête de rédemption...
Hantées par le passé mais bercées par les vents et les légendes maories, ces trois femmes apprendront à se connaître, se pardonner et s'aimer.
Mélissa Da Costa nous offre un voyage inoubliable à travers des paysages d'une stupéfiante beauté, aux côtés de personnages inspirés et inspirants. Un nouveau roman magistral et une ode à la liberté.
Mélissa Da Costa est l'autrice de Tout le bleu du ciel, des Lendemains et de Je revenais des autres. Trois romans portés par les libraires et salués par la presse qui ont conquis plus d'un million de lecteurs. Elle figure au palmarès du Figaro des auteurs français ayant le plus vendus de livres en 2020.
Comment Moustipic, chef-d’oeuvre d’Alexander Calder, a-t-il pu atterrir dans un club de vacances, où il servait d’étendoir pour maillots de bain ?
Lucie de Clichy ne comprend rien à l’art contemporain, où même "rien" signifie quelque chose mais, pour Simon Bret, le commissaire-priseur fantasque qui l’a embauchée, elle devra retrouver l’origine de cette sculpture monumentale ; si elle réussit, Moustipic passera du statut de porte-serviettes à celui de stabile – soit une oeuvre d’art majeure, susceptible de battre un record en salle des ventes…
Dans ce roman plein de fantaisie et d’érudition, Marie Lebey élabore une véritable enquête peuplée de personnages hauts en couleur, comme le petit monde de l’art sait les agiter, et nous montre l’incroyable destin de Moustipic, simple tas de ferraille ou authentique trésor.
N’est-ce pas cela, la valeur des rêves ?
Marie Lebey commence une carrière d'actrice en 1976 avec le film Une femme fidèle de Roger Vadim. En 1986, elle publie son premier livre Dix-sept ans, porte 57. En 2019, elle publie son sixième roman, dans lequel elle évoque son père.
Au lendemain de la mort de sa grand-mère, tandis qu'elle feuillette de vieux albums de famille, Camille se met en tête de retracer la lignée de ses aïeules, des femmes libres et extravagantes, « toujours sur leur trente et un, élégantes, coquettes, bavardes, indisciplinées, des gigolettes qui se balançaient en dévoilant leurs genoux et en profitant de la douceur du jour ».
Chaque nuit, au fil de sa plume, elle puise son inspiration dans ce passé triste et joyeux, exhume des secrets bien gardés et fait revivre quatre générations d'amoureuses qui n'ont pas hésité à braver les interdits de leur temps.
Mais c'est compter sans son époux, qui ne supporte pas de voir sa femme écrire et s'épanouir...
Avec l'écriture tendre et veloutée qui a séduit les lecteurs d'Aya, Marie-Virginie Dru dévoile les plaisirs et les blessures de l'amour en ressuscitant une dynastie de femmes au destin romanesque.
Aya est le premier roman de Marie-Virginie Dru, peintre et sculptrice dont l'oeuvre est très inspirée par l'Afrique, et en particulier le Sénégal, où l'auteur a vécu et séjourne régulièrement.