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28/01/25

Pour les 80 ans de l’ouverture du camp d’Auschwitz-Birkenau : Roger Fajnzylberg, Claude Bochurberg et Richard Odier



Emission: Essentiel - Laurence Goldmann

ESSENTIEL, le rendez-vous culture, présenté par Laurence Goldmann

À l'occasion des 80 ans de l'ouverture du camp d'Auschwitz-Birkenau, elle reçoit Roger Fajnzylberg pour son livre "Ce que j'ai vu à Auschwitz. Les cahiers d'Alter" publié aux éditions du Seuil, Claude Bochurberg qui publie "Un état métaphysique avec Joseph Schwartz" aux éditions Zinédi Et Richard Odier, directeur général du FSJU et président du centre Simon Wiesenthal France.


À propos du livre : « Ce que j'ai vu à Auschwitz. Les cahiers d'Alter »

paru aux éditions du Seuil


LE TÉMOIGNAGE INÉDIT D’UN HOMME

PLONGÉ AU CŒUR DE L’HORREUR

À AUSCHWITZ ET BIRKENAU

La publication des cahiers d’Alter Fajnzylberg, détenu à Auschwitz-Birkenau d’avril 1942 à janvier 1945, forcé d’intégrer pendant dix-huit mois le Sonderkommando , constitue une contribution exceptionnelle à l’histoire de la Shoah. Ces écrits inédits, rédigés en polonais à son arrivée en France, entre l’automne 1945 et le printemps 1946, dans l’urgence de dire ce qu’il avait vu dans les camps, furent alors enfouis dans une boîte à chaussures ― comme un secret brûlant. Il a fallu des décennies à son fils unique Roger pour les extirper du passé, les faire transcrire, traduire, et les contextualiser grâce à l’aide de l’historien Alban Perrin.


À propos du livre : « Un état métaphysique avec Joseph Schwartz »

paru aux éditions Zinédi


Joseph Schwartz, rescapé de la Rafle du Vel’d’Hiv, seul survivant de sa famille, est aujourd’hui âgé de 98 ans. Cet ouvrage, qui lui est consacré en guise d’hommage, n’est pas une biographie à proprement parler. Mais un accompagnement au jour le jour, durant l’été 2024, tendu de réflexions autour de cet homme violenté par l’Histoire, et dont la mémoire blessée, mais vivante en diable, empreinte de mille combats avec les Klarsfeld et ses compagnons, mérite notre plus grande considération.

Serge Klarsfeld déclare dans sa préface : « en ces quelques paragraphes j’ai voulu exprimer toute mon affection et ma tendresse pour Joseph, en quelque sorte plus mon frère aîné que mon vieil ami et qui partagera ma tombe, puisque depuis un demi-siècle nous sommes de la même famille. »


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